Sandrine Bernard

Le cœur symbolise l’Amour, la paix et la joie de vivre. C’est pourquoi les problèmes cardiaques proviennent souvent d’un manque d’Amour, de tristesse, d’émotions enfouies qui refont surface, même après plusieurs années.

Tous les amours secrets, impossibles, l’amour familial bafoué par des conflits, vont « attaquer » mon cœur. Mon cœur est endurci par mes blessures antérieures.

Je crois sincèrement que la vie est difficile,stressante et qu’elle est un combat de tous les instants. Je me sens souvent en position de survie, dans un état où je pense que seul mon effort rapportera quelques dividendes.

Je dois m’ajuster au rythme des autres et cela crée un stress immense. Je suis inquiet, surexcité, angoissé. J’ai du mal à mettre des limites, ou je suis trop fragile pour garder mon équilibre émotionnel.

J’étouffe inconsciemment mon enfant intérieur et je l’empêche d’exprimer tout cette merveilleuse joie de vire.

Quel est le sens caché derrière un problème au coeur ?

Une douleur cardiaque me montre que je m’accroche et que je dépends de quelqu’un ou de quelque chose. Mon insécurité m’amène à vivre une grande tension intérieure.

Le cœur est associé à la glande du thymus, responsable de la production des cellules T du système immunitaire. Si je vis beaucoup de colère, de haine, de frustration, ou de rejet de moi-même, cette glande s’affaiblit et résiste de moins en moins aux invasions.

Une insuffisance cardiaque me signale que je vois certaines situations de ma vie comme un échec et à quel point je peux me juger incompétent. Au lieu de suivre les élans de mon cœur, je préfère écouter les autres, ce qui me freine dans mon évolution.

Si je dois être « opéré à cœur ouvert », est-ce que j’ai toujours parlé « à cœur ouvert » de mes difficultés et de mes peines aux gens concernés ?

Si quelqu’un me fait une remarque comme « tu n’as pas de cœur », je vérifie ce message que la vie m’envoie. C’est peut-être le signe que j’aurais avantage à changer quelque chose. Je vis un déséquilibre ? J’ai des palpitations ? Je suis perturbé(e) sur le plan émotionnel ? Qu’importe la réponse , je n’attends pas d’être malade pour comprendre et accepter les changements dans ma vie.

Quel est mon grand besoin ?

Le plus grand message de mon problème au cœur est : AIME TOI ! Je suis du genre à oublier mes propres besoins et je veux trop en faire pour me sentir aimé des autres. Comme je ne m’aime pas assez, je cherche l’amour des autres par ce que je fais. Les problèmes au cœur m’indiquent l’urgence de changer ma perception de moi-même.

Mon grand besoin est de M’AIMER, d’accepter mes peurs du moment.

Que puis-je faire ?

Je me fais au moins dix compliments par jour pour m’aider à reprendre contact avec mon cœur. Lorsque ce sera fait intérieurement, mon cœur physique se portera mieux.

Je me donne le droit d’être ce que je veux à chaque instant au lieu de toujours essayer d’être ce que je pense que les autres attendent de moi. Au lieu de croire que l’amour ne peut venir que des autres, ils serait beaucoup plus sage de me le donner moi-même. Ainsi cet amour sera toujours présent en moi, je n’aurai pas à recommencer sans cesse pour en ravoir. Lorsque quelqu’un dépend des autres pour quelque chose, c’est toujours à refaire. Je continuerai alors à faire des choses pour les autres, mais non plus pour pour acheter l’amour des autres ou me prouver que je suis aimable, mais pour le plaisir de le faire.

Je prends le temps de trouver ce dont j’ai PEUR POUR MOI dans cette situation. Ma Sagesse intérieure m’invite à accueillir cette peur qui me pousse à agir ainsi, en me rappelant que tout est temporaire. Elle me dit d’accueillir mes limites actuelles et de reconnaître d’avantage ma propre valeur. Ce n’est qu’après m’être accueilli dans mes peurs et mes limites que je pourrai me diriger vers ce que je souhaite vraiment. La partie de moi qui a peur est persuadée de me protéger. Je ne culpabilise donc pas d’avoir peur mais je rassure cette partie de moi.

Le cœur a besoin d’amour et de paix. La vie est faite pour être prise avec l’attitude des enfants : ouverture, joie, curiosité et enthousiasme. Même si j’ai des besoins affectifs à combler, j’essaie de rester dans un équilibre harmonieux, avec un ouverture du cœur suffisante pour apprécier chaque geste de mon existence.

JE M’ACCEPTE ET JE M’AIME, TEL QUE JE SUIS AUJOURD’HUI !

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Pour en savoir plus sur le sens des maladies, je vous conseille les ouvrages de Lise Bourbeau « Ton corps dit : Aime-toi – Le dictionnaire de malaises et maladies et leurs messages » et celui de Jacques Martel « le grand dictionnaire des malaises et des maladies ».

L’hypertension artérielle (HTA) est un problème de santé très fréquent et aux conséquences importantes sur la santé. Bien sûr le mode de vie des pays industrialisés est mis une cause. Mais quelle est la cause profonde de l‘hypertension ? Qu’est-ce que je vis émotionnellement, inconsciemment, et qui s’exprime à travers mon corps ?

L’hypertension artérielle correspond à l’élévation au-dessus de la moyenne de la pression du sang dans les artères. Cette maladie peut entraîner des lésions vasculaires au niveau du cœur, du cerveau, des reins et de l’œil.

Trop de sel dans l’alimentation, une consommation trop faible de fruits et de légumes, un poids excessif, une consommation élevée d’alcool, un manque d’activité physique, … sont autant de facteurs qui favorisent l’augmentation de la pression artérielle. Mais derrière ces causes physiques se cachent d’autres facteurs plus profonds.

Quelles sont les causes émotionnelles de l’hypertension ?

Le nom de la maladie est indicatif de ce qui se passe en moi en cas d’hypertension : je crée en moi une forte pression à cause de mon hyperémotivité. Je revis sans cesse des situations qui me font vivre beaucoup d’émotions, mais je les retiens, ne voulant pas blesser ceux que j’aime. Mes colères et mes contrariétés pour lesquelles je n’ai pas encore trouvé de solutions sont ravalées, faisant ainsi bouillir mon intérieur.

Je suis une personne très sensible qui voudrait voir tous ceux qui m’entourent heureux. Je me crée alors trop de tension et de pression à trouver les moyens pour y arriver.

Je peux aussi avoir tendance à la procrastination. Je remets à plus tard les choses que j’ai à dire ou à faire, par peur, ou par manque de confiance en moi. J’en viens alors à vivre une tension nerveuse intense, car je vois tout cela comme une montagne. Et je ne sais pas si je serai capable d’accomplir tous mes projets.

Mon désir de tout contrôler et de résoudre les situations de ma vie fait aussi augmenter ma pression,qui peut devenir insoutenable. Je me sens impuissant, souvent parce que je ne peux plus, ou ne veux plus, obéir aux ordres, notamment à mon travail.

L’hypertension que je vis peut également trouver sa source dans ma peur de la mort. Celle-ci étant consciente ou non. Ou encore dans mon désir de tirer parti au maximum de ma vie. Je veux réaliser les multiples but que je me suis fixés.

Que puis-je faire ?

Selon Lise Bourbeau, il est temps que je cesse de croire que je suis sur cette planète pour arranger la vie de tous ceux que j’aime. Cela ne veut pas dire de ne plus m’en occuper, mais plutôt d’arrêter de me croire responsable de leur bonheur. Lorsque je décide d’aider une personne, je dois le faire par amour et non par devoir ou par peur.

Il est temps que je pense à moi. Il est temps que j’accepte l’idée que je suis la personne la plus importante dans ma vie. Si je ne m’occupe pas de moi, qui le fera ?

J’apprends à me faire confiance. Je m’accepte tel que je suis. Je reconnais que je suis un être unique.

Je m’accepte et je m’aime, tel que je suis aujourd’hui !

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Pour en savoir plus, je vous conseille les ouvrages de Lise Bourbeau « Ton corps dit : Aime-toi – Le dictionnaire de malaises et maladies et leurs messages » et celui de Jacques Martel « le grand dictionnaire des malaise et des maladies ».

Le nez qui coule, les yeux qui chatouillent, les plaques, la toux et les éternuements, les démangeaisons … les allergies sont multiples. Et nombre d’entre elles reviennent au printemps. Mais quel sens donner aux allergies, que se cache-t-il derrière ces maladies ?

L’allergie, ou hypersensibilité, est une augmentation de la réactivité de l’organisme à une substance étrangère, habituellement après un contact antérieur avec cette substance. Ce qui fait apparaître des manifestations plus ou moins violentes, sans commune mesure avec la réaction observée lors du premier contact. La substance allergène n’entraîne pas de réaction chez la plupart des gens, mais elle m’est identifiée comme dangereuse par mon système immunitaire.

Cette réaction est souvent le moyen par lequel le corps m’indique que je vis un état d’agressivité et d’hostilité par rapport à une personne ou une situation quelconque. L’allergie est une défense et un signe que mon âme se protège.

En effet dans le mot MALADIE on entend MAL A DIT. Ainsi une douleur, un malaise ou une maladie sont des messages que notre inconscient nous adresse à travers notre corps. Notre inconscient, notre esprit, ou notre âme, nous indique qu’en ce moment quelque chose ne nous convient pas.

QUELLE SITUATION ME DÉMANGE, DE QUOI JE ME PROTÈGE?

Selon Lise Bourbeau, lorsque j’ai des allergies, il est probable que je vive l’une des situations suivantes :

• Il est fort probable que je vive de l’aversion envers quelqu’un d’autre, et que j’aie de plus en plus de difficulté à le tolérer.
• Je me laisse beaucoup trop influencer par les autres, surtout par les gens que je veux impressionner. Cette situation peut même me rendre susceptible.
• Quand je me sens agressé, je me défends au-delà de ce qui est nécessaire, alors que mon besoin est d’affronter ce que je cherche à fuir.
• J’ai de la difficulté à me permettre d’aimer et d’accepter mes proches tels qu’ils sont, sans jugement.
• Je peux utiliser l’allergie comme moyen pour attirer l’attention, surtout si la forme d’allergie fait en sorte que j’ étouffe et que j’ai besoin de l’intervention des autres pour m’en sortir.

La personne allergique se laisse aussi influencer et contrôler par les parties en elle qui lui interdisent de se faire plaisir. J’aime quelqu’un ou quelque chose et une partie en moi me défend de trop l’aimer. Par exemple, je désire la présence de quelqu’un et une partie de moi me dit que je devrais m’en passer, m’accusant d’être trop dépendant. Je finis par trouver de plus en plus de défauts à la personne aimée.

Très souvent les personnes allergiques avaient deux parents qui adhéraient à des notions opposées dans plusieurs domaines.

Il est intéressant aussi de remarquer qu’une personne devient allergique à quelque chose qu’elle aime. Par exemple, aimer les produits laitiers et en être allergique.

Selon le type d’allergie – rhume des foins , allergies aux aliments, à la poussière, aux animaux, aux antibiotiques, aux piqûres d’insectes, … – il est encore possible d’affiner le sens caché des allergies. Toutefois, la liste serait bien trop longue à développer ici. Je vous conseille alors les ouvrages de Lise Bourbeau « Ton corps dit : Aime-toi – Le dictionnaire de malaises et maladies et leurs messages » et celui de Jacques Martel « le grand dictionnaire des malaises et des maladies ».

QUE PUIS-JE FAIRE?

Si je souffre d’allergies, je peux trouver la situation ou la personne envers qui je vis de l’hostilité et de qui je recherche, en même temps, l’approbation, en général une personne proche. Je crois que lorsque j’agirai selon les attentes de cette personne, je serai vraiment aimé. Et je suis devenu dépendant de l’approbation ou de la reconnaissance de cette personne. Aujourd’hui, je n’ai plus à croire que je dois être soumis pour être aimé.

Si une réaction allergique survient, je peux vérifier ce qui s’est passé dans les 24 heures précédant la réaction allergique. Je cherche quelle personne je trouve intolérable ou insupportable. Comme je ne peux pas changer les autres, je peux regarder ce que cette personne vient réveiller chez moi. Qu’est-ce que je trouve insupportable en moi? De quoi ai-je PEUR pour moi dans cette situation ?

QUEL EST MON RÉEL BESOIN ?

Lorsque je souffre d’allergies, mon grand besoin est de m’AIMER, d’ACCEPTER MES PEURS du moment. Ma Sagesse intérieure m’invite à accueillir cette peur qui me pousse à agir ainsi, en me rappelant que tout est temporaire. Elle me dit d’accueillir mes limites actuelles et de reconnaître d’avantage ma propre valeur. Ce n’est qu’après m’être accueilli dans mes peurs et mes limites que je pourrai me diriger vers ce que je souhaite vraiment. La partie de moi qui a peur est persuadée de me protéger. Je ne culpabilise donc pas d’avoir peur mais je rassure cette partie de moi.

Je m’accepte et je m’aime, tel que je suis aujourd’hui 🙂

 

Vous souffrez d’allergie, ou d’autre malaise ou maladie? vous avez besoin d’aide pour dépasser cette difficulté, pour mieux vous comprendre? Contactez-moi. J’ai à cœur d’aider les personnes à se sentir mieux physiquement et mentalement!